[Dans la foret amazonienne] Test de Pasiphaé

Dans la navette qui devait les conduire au coeur de la Foret Amazonienne, Root entreprit de résumer les regles du test à Pasiphaé bien qu'il se douta qu'on les lui avait deja enseigné. Auparavant, on l'avait vidée de sa magie pour recréer les situations dramatiques dans lesquelles on pouvait se retrouver coincer en surface. Tout cela dans le but évident de tester son sang froid et son sens de l'improvisation. Et il commenca son cours accéléré sans attendre.

- Il peut arriver que vous soyez prisonniere a la surface sans magie et sans materiel, nous voulons donc vérifier que vous etes capable de maitriser cette situation. La premiere chose a faire c'est de garder son sang froid en toutes circonstances. Imaginez donc que je suis un criminel et que vous me pour suivez. Mais ce criminel -moi- est en train d'inverser les roles et de vous chasser a son tour. Nous aurons chacun 1 pistolet de paint-ball. C'est tres simple : je vous piste et vous me pistez. La plupart des officier son touchés une demi douzaine de fois c'est pourquoi, il est inutile de paniquer. Ce qui conte c'est de me rendre la tache difficile: cachez vous, surprenez moi, piegez moi, etc.... Si vous me touchez avant que je vous touche, vous etes admise d'office, mais sans vouloir vous vexer, j'en doute. La seule personne a avoir jamais réussie cet exploit est l'agent Short. Et elle est maintenant devenue notre meilleur officier.
Je vous donne 20 minutes d'avance ! Je serait déposé a un autre endroit de la foret sans connaitre votre position et inversement. Si vous faites l'usage d'un quelconque materiel que vous auriez apporté avec vous, le test prendra fin et vous ne pourrez plus jamais le repasser.
Des questions ?

Pasiphaé écouta avec une attention particulière les instructions du commandant Root. Elle dut retenir un sourire lorsque celui ci vanta les mérites du capitaine Short. En voila un qui avait sacrément retourné sa veste. Mais c'était une bonne chose...Pour elle surtout!
Le commandant semblait avoir finit sa tirade. Pour preuve, il lui demanda:

-Des questions ?

-Aucune commandant!

A son signal, elle s'élança donc dans l'inextricable forêt amazonienne, a la fois heureuse d'être la et anxieuse à l'idée de l'issue du test. Mais ça n'était pas le moment de tergiverser.
Pour commencer: économiser ses forces. Elle sentait qu'elle en aurait bien besoin quand la traque commencerai réellement.
Ensuite: s'éloigner le plus possible tout en laissant un minimum de traces. Bien. Elle allait mettre son agilité a l'épreuve. Et surtout, tirer avantage du fait qu'elle se trouvait au milieu d'une forêt ou les arbres s'entremêlaient. Sauf que si elle venait a basculer... Mais cela n'arriverait pas! Elle prit cependant garde de s'éloigner du commandant, afin de ne pas se faire repérer dès les premiers instants. Puis elle escalada avec rapidité et efficacité le tronc d'un énorme cacaoyer. Et elle poursuivit ainsi son chemin, sans rencontrer de difficulté majeure. Sauf que les vingt minutes étaient a priori plus que largement passée. Le commandant ne tarderai pas. Et son plan avait une faille: elle ne pouvait pas le pister. Contrairement a lui...

Julius redécolla aussitot apres le départ de Pasiphaé puis attendit patiemment que les 20 minutes s'écoulent en allumant cigare sur cigare. Il jeta un regard a sa montre. Parfait, il pouvait descendre. Il posa la navette, la camoufla puis descendit. Il s'agissait maintenant de retrouver la trace de sa cible. Il avait plusieurs fois fait passé des tests dans cette foret : les endroits vide d'humains se faisaient de plus en plus rares, les etres de boue se reproduisaient de plus en plus et colonisaient toute la planete et meme l'espace. Bien sûr, ils ne déposait jamais les candidats dans un endroit ou il était deja allé, par soucis d'égalité. Ni lui, ni eux n'avaient droit a plus de materiel qu'un pistolet de paint-ball avec plusieurs recharges de balles car les tests pouvaient durer plusieurs heures, ils étaient donc a égalité a ceci pres que Julius avait pour lui l'experience et qu'il était équipé d'un casque des FARs.

Bref, il ne connaissait pas cette partie de la jungle amazonienne et il de vait maintenant choisir un direction pour tenter de retrouver des traces du passage de Pasiphaé lui indiquant le chemin qu'elle avait pris. L'ennui avec cette foret, était que le sol était recouvert d'un épais tapis végetal qui, bien qu'ayant l'avantage d'étoufer les pas, ne pouvait conserver d'empreintes, et, dans un endroit ou les arbres son si pres que leurs branches s'entrelaces, que des lianes et des plantes grimpantes forment de fragiles ponts entre eux, comment savoir si la personne que vous cherchez n'a pas simplement empreinté un chemin "aérien" ?

Bref, pour trouver cette personne, il n'y avait pas trente six solutions:
- se promener a découvert en faisant un maximum de bruit pour que ce soit elle qui nous trouve, mais ce n'était pas vraiment une solution
- attendre un coup de chance ou un miracle qui nous fasse découvrir par hasard la position de ce qu'on cherche, mais la encore, on pouvait chercher en vain pendant des jours et des jours sans que rien n'arrive (et a trop attendre on finirait par se faire manger par un boa)
-evantuellement utiliser les detecteurs de chaleur de son casque pour repérer sa cible, mais la encore, le systeme présentait une enorme faille : avec tous les etres vivants qui grouillaient dans la foret il pourrait passer des heures a suivre de fausses pistes avant de trouver Pasiphaé.
Conclusion : aucune de ces solutions n'était entierement satisfaisante.

Il reprit donc sa marche, tantot dans les arbres, tantot au sol tous sens en eveil. Il attendait, un signe, quelque chose qui trahirait sa présence, il vérifiait un maximum de cachettes sur son passage, enjambait les lianes, et regardait au dessus de sa tete s'il n'y avait pas là, quelque chose pres a lui tomber dessus. Il cherchait . Quoi ? un canon de de pistolet dépassant du feuillage, quelques cheuveux au dessus d'un buisson, une empreinte, une pierre ou une liane dont la place serrait contre nature, .... Il finirait par trouver, il vaait tout son temps.

Pasiphaé progressait relativement rapidement a travers les arbres mais n'avait pas vraiment d'idée precise ni de l'endroit ou elle se trouvait, ni même du temps qui passait. Elle decida donc de redescendre de son perchoir. De toute facon l'epais tais de liane, de feuillage et de racine ne laissait de toute facon que peu de chance de retrouver une trace. Mais mieux valai être mefiante. Elle prit donc le plus grand soin a vérifier que le commandant n'etait pas dans le coin avant d'entamer sa descente. Manque de chance, c'est a ce moment la que l'elastique qui retenait ses cheveux a grand peine choisit de l'abandonner. Il tomba a terre tandis qu'un epais rideau de cheveux blond vint obscursir sa vue. La jeune elfe réagit instantanément. Elle remonta très rapidement sur sa branche et s'applatit dessus en se racripotant sur elle même. Elle offrait ainsi beaucoup moins d'espace de tir. Restant ainsi, immobile, la respiration quasi inexistante afin de ne pas faire de bruit, elle patienta durant de longue minute. Enfin, elle se redressa avec lenteur et decida qu'attacher ses cheveux était la première chose a faire. Ils riquaient fort de la gener plus tard. Elle descendit de son perchoir rapidement avant de simplement se pencher pour ramasser une liane suffisement longue pour attacher sa tignasse et suffisement courte pour ne pas la gener. Elle noua rapidement le tout en natte avant de reprendre son chemin mais en sens inverse. Elle tomberait peut être sur lui. Elle comptait plus sur le hasard que sur le pistage puisque le sol ne laissait que peu d'occasion.
Et pourtant...Environ vingt minutes plus tard elle tomba sur l'empreinte d'une grosse botte d'apparence militaire a la semelle imprimée du sigle des FAR. Parfait. L'empreinte n'etait plus de première fraicheur mais lui indiquait une direction. Ne restait plus qu'a la suivre en priant très fort pour qu'une seconde face son apparition.

*On peut toujours rever*

Il y avait deja un bon moment qu'il avait quitté la navette pour partir a la recherche de Pasiphaé et il n'avait trouvé aucune empreinte, aucun signe de sa présence. Il se dit que s'il ne pouvait pas la trouver, elle, le trouverait. Il ferrait en sorte que les choses se passent de cette façon, Bien sûr, ce plan n'avait aucune chance de marcher si elle lui avait tendu un piege puis était restée embusquée pres de celui ci . Mais bon, ça valait le coup d'essayer. Il entreprit alors de laisser des indices: discrets pour ne pas lui mettre la puce a l'oreille, et a la fois pour tester son sens de l'observation, et peu nombreux pour les mêmes raisons. Il avait décidé d'en laisser a plusieurs endroits pour qu'elle ait plus de chances de les repérer, quelle que soit sa position dans la foret. Il redoubla se prudence, si elle le voyait laisser des empreintes, ce plan n'aurait servit a rien.

Bref, il se mit au travail. Il laissait le trace du bout d'une chaussure sur un endroit humide, juste au bord d'un buisson pour que c'a n'ait pas l'air fait exprès, une branche brisée, parfois un jet de peinture hâtivement camouflé. Il tracait ainsi un petit chemin, les indices étant tres espacés les uns des autres et rares, mais toujours dans la meme direction. Elles menaient a un endroit un peu dégagé sous un grand arbre touffu au tronc epais, c'est la qu'il avait prévu de se cacher quand il aurait mis en place toutes ses pistes. En ayant fini une, il monta dans un arbre, s'éloigna dans une autre direction on avancant sur les branche, puis, arrivé suffisamment loin, il descendait et installait de nouvelles fausses pistes. Il un installa ainsi plusieurs, sur le meme modèle.
Il se dépechait, tout mettre en place lui prennait un long moment, bien qu'il y eut peu de chances que Pasiphaé arrive sous l'arbre avant qu'il n'ait fini, il préférait ne pas prendre de risque.

C'est en installant l'une des dernieres qu'il trouva dans les broussailles, la ou il avait voulu placer un indice, un élastique a cheuveux.Toutes ses pistes menaient au meme endroit. Comme les rayons d'une roue se rejoignent tous, il en était de meme avec ses pistes. Il ramassa l'objet . L'examina. Aucun doute c'était bien un élastique: il restait meme un long cheuveux blond coincé a l'interieur. il ne pouvait appartenir qu'a Pasiphaé. Il ne savait pas depuis combien de temps elle l'avait perdu, mais elle avait peut etre trouvé, l'une des premieres pistes qu'il avait mises en place car, en effet, l'objet ne se trouvait pas tres loin du premier indice. Il monta rapidement dans un arbre et revint le plus vite possible dans le grand arbre ou il avait prévu de se cacher, négligeant d'installer les derniers indices. Pasiphaé ne semblait pas etre dans les parages, il attendit, guettant un bruit, glissant de temps en tenmps un oeil a travers le feuillage qu'elle arrive.

Pasiphaé commençait a devenir méfiante. Il était quand même très étrange que, sur un terrain aussi peu propice aux indices, il y en ai tant. Et cela s'intensifiait. La une brindille craquée. Ici, une trace de peinture. C'était ces dernières qui lui mettaient le plus la puce a l'oreille. Le commandant Root était réputé pour ne jamais raté ses cibles. Or, si vraiment elle avait été la elle ne serait certainement pas mise DEVANT un arbre. Et il le savait pertinemment. Ou alors il avait vraiment une mauvaise opinion d'elle. Dans tout les cas ce n'était pas bon. Pour elle.

L'Elfe adapta donc son pas. Silencieuse, a la manière d'une panthère, elle suivit une à une les traces. Elle effleura doucement l'arme qui lui avait été remise. La sortir ou pas? Cela semblait une bonne solution mais le bruit qu'elle ferait en la sortant du holster pouvait donner une indication sur sa position. Il fallait compliqué la tache a l'adversaire. Bon, c'était sur, elle se la compliquait aussi mais au moins assurait sa sécurité. Elle s'écarta un p.eu de la piste laissé par le commandant et grimpa a nouveau dans un arbre, se camouflant derrière l'épais feuillage. La, elle sortit l'arme et choisit d'ôter le cran de sureté. Du temps gagné. Mais cela pouvait se transformer en inconvénient. Ce genre d'engin était extrêmement sensible et les coups partaient facilement. Elle allait devoir faire attention. En parlant de faire attention... Elle se releva avec lenteur et, perchée sur sa branche, attentive au moindre mouvement ou bruit suspect, prête a disparaître a nouveau derrière le feuillage a tout instant, guetta les environs. Ou en tout cas ce qu'elle pouvait guetter. Pas la moindre trace du commandant. Enfin, si on exceptai la piste. Mais elle avait espéré le repérer d'ici. Espoir vain. Presque mort-né. Mais on pouvait toujours essayé. Elle descendit donc de l'arbre...a une seule main. Une technique acquise au cours de ces trente années d'entrainement. Cela ne fonctionnait que si on pouvait s'aider des pied et disposait donc de branches suffisamment rapprochées les unes des autres. En l'occurrence c'était le cas. Cela lui permettait de ne pas lâcher son arme. Mais d'un autre côté la descente était moins rapide, elle était donc exposée plus longtemps.

Ses pires craintes se confirmèrent lorsqu'elle entendit le cliquetis familier d'une arme que l'ont chargeait. Il lui restait deux mètres cinquante. Elle lâcha et atterrit souplement au sol. Elle roula derrière l'arbre, arbre au poing, et attendit que la bataille commence.

HJ: content que tu ais comprsi mon histoire de pistes parce que j'avais l'impression d'avoir écri du charabia....

DJ:julius attendait, perché sur son arbre. Il restait vigilant, guettant un signe, mais rien ne se passait. Ou Pasiphaé avait compris son plan, ou bien elle s'était perdue, mais elle se faisait attendre.Il attendit encore quelques minutes, et un peu plus loin, il crut entendre le bruissement d'un feillage, il tourna la tete, il pouvait l'avoir inventé aussi bien que le bruit pouvait etre réel. Mais rien ne prouvait qu'il n'avait pas été provoqué par une bête montant dans un arbre. Et s'il allait vérifier, il allait certainement manquer pasiphaé. Bref, que faire ? Ce n'était pas trop loin, il décida donc d'aller voir, en surveillant le bout de la piste. Il plissa les yeux: oui, le feuillage bogeat bel et bien, une forme entreprit de descendre. Singe ou elfe ? Il ne distinguait qu'un etre de petite taille, tenant quelque chose a la main. etait ce Pasiphaé, son pistolet a la main ? Pourtant, la forme semblait s"aider des pieds....savait-elle faire ça ? Elle devait etre tres agile. Pourtant, elle ne descendait pas avec la rapidité avec laquelle un animal l'aurait fait.... Il jeta un coup d'oeil derriere lui. Personne. Il se fit plus brudent. Veillant a ne pas marcher sur un brindille, avancant a couvert et courbé. Nouveau regard vers l'arriere. Toujours rien. Il était maintenant assez proche pour distinguer la forme. Il s'agissait en effet de Pasiphaé. Ayant les mains et les pieds occupés, elle était vulnerable. Cétait l'occasion idéeale pour tirer. Il la saisit. Il fit sauter le cran de sureté et pointa le canon de l'arme vers sa cible. Malheureusement, le cran produisit un déclic que la jeune fille sembla entendre puisqu'elle lacha la branche et roula au sol, derriere l'arbre. julius laissa échapper un juron tout bas, c'était l'occasion révée, pourquoi s'était il trahit ? Tant pis. Il visa de nouveau. Pendant que Pasiphaé roulait, il tira deux fois, puis une troisieme alors qu'elle allait s'arreter, mais elle disparaissait deja derriere le tronc.

Ses réflexes avait apparemment été les bons puisque les coup de feu se firent rapidement entendre. Fort heureusement elle arriva a l'abri de l'arbre très rapidement et sans se faire toucher. Ou en tout cas pas directement, car les éclaboussures étaient inévitables. Elle resta camouflée par l'arbre le temps de se concentrer, gardant une oreille sur le plus petit bruit, qui pouvait trahir la présence du commandant. Une bonne idée si il en est. Elle évita de justesse un quatrième assaut et lança le sien. Loupé. De peu mais en situation réelle, cela pouvait ne pas pardonner. Ils se tournèrent ainsi autour pendant un bout de temps, jouant au chat et a la souris, se ratant mutuellement grâce a de prodigieux réflexes. Mais Pasiphaé faiblissait. En voulant éviter un énième assaut, elle trébucha, roula au sol. Le commandant en profita. Il tira et l'atteignit a l'épaule. L'elfe ne se laissa pas démonter pour autant, elle avec soin et rapidité et tira...

[HJ: si si j'avais compris! Je te laisse décider si je t'ai toucher ou non! Désoée c'est plus court mais je suis overboockée XD]

HJ: court, court, c'est déjà pas mal. Je me retrouve souvent avec des messages de deux lignes entre deux tirs auxquels j'ai du mal a répondre .
J'ai pas trop le temps non plus donc j'ai laissé traîner quelques jours, désolé.
Sinon je te signale au passage que la fin de ton message releve un peu du contrôle de perso. ça ne pose aucun problème dans ce topic car ce n'est pas une action décisive, ou qui modifiera le cours du test . En fait c'est juste pour que tu ne le refasses pas dans un autre topic ou cela pourrait occasionner des problemes.

DJ:la peinture éclaboussait les arbres alentours, pourtant, aucun d'eux n'avait été réelement touché . La "bataille " durait depuis un moment déja. Chacun roulait , courait, sautait, comme un ballet longtemps répété. L'un d'eux laissait parfois echapper un grognement lorsque, devant se jeter au sol, l'air était brutalement expulsé de ses poumons, d'autre fois, un animal éffarouché s'enfuyait quand l'arbre ouè il était se retrouvait taché de" peinture.
Julius avait l'habitude. Bien sur, ce n'était jamais pareil, mais il était endurant. Ce test était loin d'etre son premier. Un peu plus loin, a couvert, Pasiphaé l'avait plusieurs fois surpris par son habileté, ses réflexes et la précision de ses tirs. Bien sur avec de l'entrainement, elle pourrait encore s'améliorer dans ces domaines, mais elle avait deja un tres bon niveau. Il sentait cependant qu'elle commencait a faiblir. Elle bougeait moins vite et semblait avoir plus de mal a éviter ses tirs. Il n'aurait pu en jurer car elle disparaissait fréquement derriere un arbre ou un buisson ne pas etre touchée par les projectiles de peinture.
Il devait avoir raison car elle finit par trébucher un voulant éviter le dernier tir d'une courte rafale. Julius en profita pour tirer. La cible était proche, imobile, il ne pouvait pas manquer son tir. C'était un peu lache certes, mais si elle avait été face a un criminel, il ne lui aurait pas fait de cadeau. Cela ne suffit pas a destabiliser la candidate qui se releva sans plus tarder et lui fit aussitot face pour tirer a nouveau . Julius, surpris par la rapidité avec laquelle son éleve avait riposté, eu a peine le temps de se précipiter sur le coté, la balle rasa son uniforme....et il faillit basculer dans le buisson pres de lui. Il rétablit son équilibre, se placa en position de tir....mais Pasiphaé avait deja disparu de son champ de vision .

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