Chambre de Kenzo

Une petite chambre dont un peu plus que le néssecaire y était installé (Beaucoup plus enfaite....):
Bureau bourée de Lettres, Posters ect....
Salon ou y était entreposé un ordi,Objets futils tels que quelques robots ménagés.....
Kenzo s'installa dans l'un de ces nombreus fauteuils puis alluma la tv.
-Je sens que je vais m'plaire

Voila qui était fait, Veki n'allait plus le coller pendant quelques heures au moins. A moins qu'il n'ait un flair particulièrement développé et qu'il puisse le pister parmi la foule grouillante des humains...
Avisant un immeuble bordé de verdure, Eina dévia quelque peu sa trajectoire. Les pigeons représentaient le principal danger, en surface. Et quel danger !
Il rit sous cape en voyant un gamin se prendre le résidu sur le haut de son sac.
Et il s'engouffra dans l'immeuble. C'était celui-ci, c'eût pu être un autre.
La porte claqua brutalement derrière lui.

Que de lumière dans le hall ! De la lumière, partout...
Il donna un coup de poing rageur sur un étrange panneau plein de boutons clignotants. Dans un grésillement, un haut-parleur se mit en marche, qui le reliait à la chambre numéro je ne sais plus quoi.
Toutefois, il n'y prenait pas garde, perdu dans ses pensées.

Sa place était ici, à la surface !
Pourquoi allait-il falloir qu'il retournes s'enterrer au milieu de milliers d'autres cadavres qui jouaient à la vie ? Il aimait le chant des oiseaux, même celui des pigeons, il goûtait l'air frais comme le dernier des délices.

A voix haute et intelligible, il cracha un juron.
Et maintenant, que faire ? S'enfuir, peut-être, se cacher, allonger la durée de son séjour parmi les humains...

Soudain Kezo arriva et vit un graçon dans sa chambre

*Hein?, que fait-il la lui*

-Euh excuse moi mais on ta jamais dit de frapper avant d'entrer...?

*Franchement, les gens de nos jours*

Soudain il eu une envie de lui dire:

-De toute façon tu peut rester je me sens bien seul ces derniers temps

Puis il lui fit un sourir et repris:

-Salut moi c'est Kenzo, et toi comment te nomme tu?

*J'éspère qu'il est sympa,Je serais trop comtemps de partager ma chambre avec lui*

Eina était resté planté dans le hall de la résidence quelques instants durant, puis il était sortit de l'autre coté, c'est à dire du coté qui n'était pas la rue. Qu'était-il alors ? Une allée, et qui desservait une poignée de petits maisons aussi chichement réparties que les patates dans la soupe d'Haven-ville. Toutes séparées de haies. Le vent soufflait de l'une à l'autre, languissant mollement en ce début d'après-midi ensoleillé.

Sans gène, il s'était approché d'une maison. Il cherchait quelque chose de bien particulier... Trouvé !
Un panneau "Bienvenue" naïvement accroché au-dessus d'une porte par un humain crédule.
Donc, en vertu des lois des Fées, il avait le droit d'entrer et ne perdrait pas ses pouvoirs ni ne serait prit de violentes nausées. C'était déjà ça.

Le génie de son plan résidait en un stratagème très simple: il entre (Quelle chance, ce n'était même pas fermé à clef !), il se retourne et décroche ce panneau qui ne cesse de lui envoyer son Bienvenue en pleine face histoire de s'en débarrasser, mais aussi d'interdire l'accès de la maison aux autres Fées. Même si elles le retrouvaient, elles ne pourraient donc pas pénétrer à l'intérieur...
Ouf ! On y crève de chaud ! Sans gène, Eina alla ouvrir une fenêtre par laquelle s'engouffra un vent déjà brulant, puis il retourna fermer la porte...
Le petit logement semblait habité par un étudiant forcené. Des posters, des paperasses et des posters. A ce sujet, le Demi eut une idée encore plus géniale que la précédente.
Tout en s'en félicitant et en jubilant intérieurement, il confectionna soigneusement les phrases qu'il allait sortir une fois l'habitant des lieux rencontré au détour d'un couloir. Enfin, du couloir, c'était vraiment petit ici.
Et puis même, de son couloir. Il n'avait qu'à lui dire que l'organisme chargé d'attribuer les logements étudiants l'avait placé ici provisoirement en raison de travaux effectués dans une autre résidence.
Et s'il était tombé sur un fils ou une fille à papa, auquel la maison appartenait ? Bah, tant pis, il essaierait ailleurs.
Les Êtres de Boue, c'est comme les rats: ça se reproduit vite, ça vit pas longtemps, mais y en a partout.

Soudain, une porte s'ouvrit derrière lui. Il se retourna lentement et pencha la tête pour examiner l'intrus. Négligé, des paperasses sous le bras, un ton un peu nonchalant.
Il avait donc vu juste, pour le moment. Étudiant.

-Euh excuse moi mais on ta jamais dit de frapper avant d'entrer...?

- Mm... Il se trouve que certaines circonstances ont fait que non. Et puis...

Il allait sortir son baratin larmoyant d'étudiant tragiquement expatrié de son logement et envoyé ici après trois jours d'errance sous les ponts lorsque l'autre le coupa dans son élan:

-De toute façon tu peut rester je me sens bien seul ces derniers temps

Avec ça, l'Etre de Boue lui sourit. Curieux curieux...
En fait, carrément bizarre. Incompréhensible retournement de situation, qui l'arrangeait bien.

- Je ne sais pas si je resterai longtemps, à vrai dire, probablement quelques jours.

La-dessus, il balança sa sacoche dans un coin et se laissa tomber sur une chaise. La marche précédente l'avait épuisé.

-Salut moi c'est Kenzo, et toi comment te nomme tu?

- Eina, tu m'appeler comme ça. A tout hasard, tu es étudiant ? En quoi donc ?

Tout à fait conscient de sa position de bernard l'hermitte dans ce logement qui n'était pas sien, il eut un sourire radieux quoique quelque peu calculé.



[Ps: J'imaginais au début que ta maison était un appartement d'immeuble, et donc je me trouvais dans le hall d'entrée d'où le rattrapage]

Veki et l'hybride était sorti du fort de fée. Il comptait ne pas lâcher Eina tout de suite. Son protégé s'était engouffré dans un immeuble comme si il fuyait le diable. Mais Eina n'avait sans doute pas remarqué que Veki pouvait voler. Veki s'était donné un teint humain et avait pris un sac à dos qui permettait de chacher ses ailes ,qui se trouvait là comme par hasard, et pour fourrer dedans tout son bazar. Quand Veki avait vu que Eina voulait le lâcher, Veki prétexta qu'il devait aller au toilettes. Il rentra dans des toilettes publiques humaines vraiment répugnantes. Il lança le sac à dos dans les toilettes, mis son casque, rangea son Neutrino à sa ceinture et se couvra de la cape d'invisibilité. Puis il sortit par une lucarne pour surveiller Eina qui s'était caché. Mais revenons au présent. Veki s'engouffra à la suite de son protégé, qui retourna intelligemment la pancarte Bienvenue qui était à l'entrée. Il descendit et dis à l'oreille d'Eina, de façon à se que Kenzo ne puisse entendre :

- Raté ! Je suis là ! Mais, ne t'inquiète pas, je te surveille juste. Je ne t'embêterai pas.

Veki colla un récepteur et un micro sur Eina pour rester en communication, pour que Kenzo n'entende.

- On peut discuter tranquillement comme ça. N'essaye pas de te l'arracher, tu risquerai de mourir...

-Bon ben fait comme chez toi Eina...

Il mettat un peu au norme sa chambre, histoire de bien se faire voir.

-Quelques jours? Moi ca ne me dérange absolument pas

Bref kenzo avait l'air de bien aimer Eina...(En amie vu que c'est un graçon)

Puis il entendit un bruit devant la porte

Il alla ouvrir puis ne vit rien....

*Mon imagination....*

Il retourna sur ses pas puis dit a son nouveau amis:

-Tu viens d'une autre ville je ne t'ai jamias vu dans le coin...Remarque le monde est grand...

- Raté ! Je suis là ! Mais, ne t'inquiète pas, je te surveille juste. Je ne t'embêterai pas. On peut discuter tranquillement comme ça. N'essaye pas de te l'arracher, tu risquerai de mourir...

Puis Eina avait refermé la porte sur le lutin, sourire aux lèvres.

Et maintenant qu'il s'installait tranquillement et discutait avec le jeune propriétaire des lieux, les paroles du lutin lui revinrent en mémoire.
Arf, il l'avait donc suivit ! Cela le dépitait quelque peu, et faisait naître une espèce d'amertume fort désagréable dans sa bouche...
Enfin, comme si Veki allait l'effrayer ! On pouvait considérer que fabriquer du matériel qui pouvait tuer revenait presque à tuer, et donc à violer l'une des lois du Livre... Les FARs ne prenaient pas tant de risques !

Retour à la réalité:

-Bon ben fait comme chez toi Eina... Quelques jours? Moi ça ne me dérange absolument pas

Court silence.

-Tu viens d'une autre ville je ne t'ai jamais vu dans le coin...Remarque le monde est grand...

Eina tendit le bras vers la bouteille de Coca qui trainait vers la table et en bu une gorgée. Qu'est-ce que c'était que ce truc ? Ça piquait et sentait le bois...

- Merci, sourit-il. En effet, je viens de... du sud. Du coté de de Lyon, tout ça, enfin, la France, quoi.

Puis il ajouta:

- Tu as de la famille par ici ? Enfin, après tout, peu m'importe. Donc je viens d'arriver... Tu me ferais visiter la ville ?

Décidément, il n'était pas des plus doué pour converser.