Arnaque et crime, Londres, bijoux volés

Londres, faubourg mal famé, étals miteux, camelote volée.
Brian Cooper, grand médiateur du monde fait son petit revendeur, ses associés au côté, prêts à intervenir au moment venu.

- 'Faut distinguer, y'a les acheteurs et les espionneurs, les gourmands et les indigent, y'a ceux qui m'font confiance et y'a ceux qui m'soupsonent. Parce que si vous voyez pas la voyeur de c'qui y'a là ! vous êtes pas de clients les mecs, vous êtes des ptits voleurs à la tire. Regardez-moi cette marchandise, ça éclate plus qu'un clair de lune ou qu'un rayon d'soleil, ou qu'un lingot dans un coffre fort ! Prenez vot' sac, allez prenez chacun vot' sac ! On a des amateurs de bijoux ? regardez-moi c'ui là ! Fait main en Italie, et volé main à Stepney, il est grand comme mon bras, dommage qu'il soit pas grand comme mon associé (Brian désignait bien sûr Charles, qui d'autre ?) . Allez pas croire que parce qu'elles sont scellées ces boîtes sont vides, des boîtes vides y'a qu'les pompes funèbres qui vous en vendent ! Allez 10 £ prix unique !

Enfin le moment d'intervenir arrivait, comme prévu :

- 10 £ c'est l'prix ? demanda Art en bon complice.

- T'es dur de la feuille ou quoi ?

- J'suis preneur, c'est une raie occase.

C'était partit, la foule s'agitait autour de l'étalage diverse, la ruse de Cooer avait marché... Comme toujours.

- Eh ben voilà qu'ils s'reveillent c'est bien ça ! Allez 'faut avancer ! Jambe gauche, jambe droite et l'reste suivra, ça s'appelle marcher ! Gâtez vot' femme, gâtez plutôt la femme de vot' voisin, c'est plus marrant à condition de pas s'faire piquer...

Le commerce commençait enfin. Les billets passaient de mains en mains...

- Y'a pas d'probleme, c'est pas des truc volés, c'est juste des trucs pas payés, on pourra pas en ravoir parce qu'ils ont changé leur cerrure... Trop tard, trop tard, 'vous restra plus qu'à pleurer quand la belle affaire vous s'ra passé sous l'nez.

Quel baratineur ce Brian. Mais ça marchait. Stern se dirige vers Charles pour lui expliquer quelques détails, lui rappeler que si le moindre signe de police humaine ou féerique arrivait, il faudrait signaler, remballer, blasphémer et déguerpir. Mais Art espérait ne pas en avoir jusqu'à déguerpir, au contraire une tuerie l'intéressait d'avantage...

/HJ\ : es paroles en Noir sont celle de Art et celle en Orange son celles de Brian.

J'étais de retour à Londres pour quelques jours. Mon ancien orphelinat avait besoin de moi. Il était situé dans le faubourg mal famé de Londres. Me voila donc en plein milieu du quartier.

*Ah lala que de bons souvenirs...* Ouais, ben moi jpréfère Dublin...* Connais tu le sens du mot 'ironique', ma chère conscience?* Oui, mais avec toi on peut jamais savoir...*

Toujours autant de vendeurs d'objets "pas volés, juste pas payés". Ce quartier ne changerai surement jamais... Aller, on marche jusqu'à une batisse des plus miteuses. Mon ancien orphelinat. J'y entre pour en ressortir quelques minutes plus tard après avoir vu le directeur.

-Nous avons oublié d'envoyer tout votre dossier, j'en suis désolé.

Il me tend un trieur rempli de papiers.

-Tenez, le voila. Vous le donnerais au directeur de votre nouvel orphlinat. Au revoir.

Plutôt vite expédié. Enfin, pas grave, cet endroit me donne des frissons.
Me revoila donc à marcher dans les rues au milieu des passants et des vendeurs.

Art scrutait la ruelle, sombre nouvelle : FAR au bout de la rue (oui les elfes invisibles deviennent moins menaçant lorsqu'on possède des lentilles à filtre video...)

Tachant de ne pas perdre son calme, Art les suivit deicretemen des yeux, il se fondait dans la foule de clients, faisant mine d'être interressé par la marchandise et en même temps restant sur ses gardes. Soudain il vit le regard de l'agent... Elle avait remarqué les oreille pointues de Brian !

- Barront nous les cognes !

Ils se regardèrent tout les trois...
Balançant les objets plutôt louche dans la valise cabossée Brian se mit à courrir.

- Zone industrielle, y'a des tas de bidons et de cabes rouillé au sol...

Les FAR leur courraient déjà après.

On m'explique pourquoi j'ai fait une rencontre assez brutale avec le sol?

*Tu t'es pris un gars en plaine poire ma chérie. Tu les fait tomber comme des mouches...*

Aucun commentaire sur ma conscience.
Même pas le temps de comprendre que je me retrouve sur pied et avec la tête qui tourne. Ou alors c'est la Terre qui tangue. Ou les deux.
Me retourne vers l'abruti qui m'a renversée pour l'engueuler quand je me rend compte que je connais cette voix.

*C'est qui?* Le gars qui fait de l'aïkido...* Ah oui, c'est vrai*

- Si j'étais toi, je partirais d'ici vite, très vite, et très loin. Je connais un endroit sûr. C'est toi qui vois.

-Ah? Euh, ouais, ok, mais pourquoi?

Même pas le temps d'avoir une réponse qu'il m'entraine déjà à travers les rues de Londres.Enfin, pour l'instant, on cours, et on posera les questions plus tard.

Rebecca avait été envoyée en surface par le commandant sans trop d'explication, et ca, elle détestait.

"vous recevrez les information tout au long de votre voyage"

pfff, parfois ce métier l'ennuyait, il fallait être honnete, et comme c'était une elfe très curieuse...
Elle scrutait les alentours, ayant reçu un message dsant simplement :

"vous êtes dans la zone"

très clair.
Elle remarqua alors des gens plus petits que les autres, et vu ... Brian.

*il n'arretera donc jamais?*

Rebecca les observait discrètement, mais remarqua rapidement qu'ils l'avaient vue, elle n'eu d'autre choix de les poursuivre en volant, ce qui la rendait visible. Elle n'était pas sans savoir que Brian possédait des lentilles permettant de vor a travers les boucliers...

(hj: toujours pas d'inspi, je te laisse décider de la tournure de cette "course poursuite")

Brian reconnu Rebecca... Rah ! Pourquoi fallait-il que ce soit un agent qu'il repugnait à blesser ?!

Il s'arreta au niveau d'une ruelle transversalle dont les deux bâtiment qui la bordaient étaient munis d'enormes gouttières.

- Allons-y, c'est partit pour escalader les toits de Londres... murmura-t-il d'un air las.

Se cramponant aux gouttières il parvint en haut de l'immeuble, Art à ses côté. Il savait que Rebecca les suivrait en particulier : c'était eux les elfes fugitifs. Il courru donc, sautant de toits en toits, jusqu'au moment où, en plein saut, il se rendit compte de la précarité du plafond sur lequels ils allaient attérir... Il le traversairent comme du carton mouillé et chutèrent dans une maison délabré.

Rebecca avait suivit Brian et son complice jusqu'a ce qu'ils...disparaissent dans un immeuble.

Elle passa a travers le trou, profitant qu'ils étaient sonnés pour se cacher. Elle vit alors un Humain arriver suivit d'une jeune fille, humaine aussi. Mais comment assomer le complice de Brian tout en faisant attention que personne ne la voie...l'humaine!

L'elfe s'en approcha et se mit derrière Charles, laissant apparaitre ses yeux. Elle réussi a la mesmeriser et lui ordonna d'assomer le complice Brian.
La jeune fille piroueta et plaqua l'elfe au sol sans qu'il n'ai le temps de protester, Rebeca lui ordonna aussi d'enlever toutes armes qu'ils pouvait avoir et de les lancer vers elle. Charles attrapa l'humaine avant qu'elle ne lui done un nouveau coup de pied.
L'elfe rammassa les armes a ses pieds, révélant a Brian sa présence.

Elle était bien consciente que celui-ci l'avait vue et se contenta de lui sourire simplement...

Tout en courant, je lève la tête et voit deux silhouettes se détacher sur les toits des immeubles.

*C'est qui?*

Je freine des quatre fers devant la maison dans laquelle ont disparues ces deux silhouettes.
Je suis... euh.... je l'appelle comment, je connais pas son nom?

*Bah tu l'appelles pas...* Merci, ça m'aide beaucoup...*

Bon ben disons que je le suis dans la maison en montant les escalier en quatrième vitesse.

-Qu'est-ce qu'on fait maintenant ?

-C'est toi qui m'a entrainé là, alors à toi de trouver une réponse...

Avant d'avoir une réponse, j'apperçois deux yeux. Et j'ai l'impression d'avoir fermé les yeux et dormi parce que j'ai un blanc. Un gros, hein. Un machin étalé par terre, et moi tenue par l'aïkidoka.

-Uuuuuh... Qu'est ce qui c'est passé?