Le coup du siècle

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Herman c'etait dessidé à un peu laisser de coté les elfes et autres fées, le coup qu'il preparait depuis maintenant un mois allait enfin se réaliser. Il etait devant la grande porte de l'International Bank de Munich, son père avait d'ailleur un compte ici et il devait si rendre aujourd'hui, sa rajouté des difficulté pour Herman en plus des caméra il devrait faire attention à son père, il gardé toujour ça cacher mais ses jambes estropiés etaient depuis longtemps guerrit, il restait dans le fauteuil pour garder un effet de surprise au cas où. Une longue berline noire s'arreta dans l'allée bordant la dite banque à l'interieur, Hernest MacFloid père de Herman, il sortit seul, son garde du corps à l'interieur de la voiture, ce dernier regardait d'un oeil noir le père d'Herman qui lui avait dit de rester dans la voiture. Comment le garde du corps pourrai-t-il le proteger?

Ah, comment vas-tu fils?
-Très bien, et vous père?
-Je me porte le mieux du monde, les recettes augmentent partout dans le monde, mais pourquoi es-tu ici?

Herman sortit de son air serieux essayant de reprendre un air plus enfantin.

Je voulais venir avec vous père.
-Bien suis moi.

Et tout de rentrèrent dans la banque la mieux securisé au monde, Herman attendit pret de son père celui-ci reglé les regles de securité et signé sur la plaque graphologique. Herman regarda un peu autour de lui, l'interieur etait luxueu et le sol couvert de marbre. Il regarda alors les fauteuils en cuir et il dicerna une personne.

*J'espère qu'elle n'entrera pas après nous, elle risquerait peut-etre de voir se que j'ai fait.*

Elynn entra elle aussi dans l'International Bank ( à prononcer à l'anglaise ). C'est étrange qu'une fillette d'à peine dix ans fréquente déjà ce genre d'endroit allez vous me dire. Mais à cela je vous répondrais qu'elle même n'avais aucune envie d'y aller et que la seule raison de sa présence ici était Mr.Malloy, le frangin de la gamine.

Ce dernier après avoir apprit que sa petite soeur brillait par ses absences à l'école, avait décidé de la garder à l'oeil quelques temps. C'était en sois une sorte de punition.
Elynn faisait la mou, elle n'aimait pas les banques, c'était un endroit si inintéressant et en plus peuplé par une majorité de gens prétentieux et péter de tune, passez moi l'expression.

La fillette n'était pas vraiment le genre à aimer les gens qui expose autant leur argent alors autant dire que les luxueux fauteuils et les bureaux de marbre ne lui faisait pas le moindre effet, tout au plus ils la dégoûtaient.
Pendant que l'enfant balayait la grande pièce du regard d'un air boudeur son frère se dirigea vers un comptoir et commença à faire la queux.

Elynn suivit sa progression du regard et se dit que, t'en cas faire, si elle était là autant explorer un peu le bâtiment. Cette idée fû d'ailleurs rapidement mise en oeuvre et la fillette se dirigea vers les canapés d'un pas lent mais décidé.
Dans son dos elle entendit la voix traînante de son frère la rappeler à l'ordre :

- Elie ! T'éloigne pas, revient ici !

La surnommé Elie ne fit pas attention à cet ordre et commença à observer les autres personnes présentes. Le frère, peu désireux de quitter sa place dans la file baissa les bras bien rapidement et ne fit plus attention à sa sœur.

* Pff tous des adultes *, pensa t'elle.

Or la petite demoiselle avait tord la dessus, au milieux de ce flot d'hommes se trouvait un adolescent. Un rouquin, plutôt mignon d'ailleurs quoi que la fillette n'avais pas vraiment l'âge et la sagesse pour juger. Mais qu'importe il était jeune c'était ce qui comptait.

Sans réfléchir beaucoup plus Elynn se dirigea vers le rouquin et le salua avec un sourire Colgate :

- Bonjour Monsieur !

Eh oui, boulet un jour, boulet toujours.

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Herman se retourna ou plutôt son fauteuil se retourna, il regarda, une fille à sa hauteur niveau taille, dix ans, grand maximum. Herman la regarda un peu pourquoi cette petite venait-t-elle le voir, son plan était réglé au millimètre près, il n'avait pas le droit à l'erreur en plus de la surveillance de son père encore absorbé dans de nombreux formulaires. Il décida donc d'engager une courte conversation il pouvait ainsi observé, deux caméras dans le hall déjà piraté et qui donnait des images dans les lunettes qu'il avait mit, un technologie assez complexe qui plus ai. Il y avait trois caméra dans la salle des coffre d'après l'écran du garde posté devant la porte. Une petite conversation, un plan magistral, rien ne pouvait capoté pour quelques paroles échangé, Herman se trompait, une seconde trop tard, mais il n'en est pas encore là, il afficha un sourire qu'il voulut aimable au possible.

Bonjour, Herman MacFloid.

Herman tendit la main il sentit une main se poser sur son épaule, son père.

Je dois malheureusement écourter cette petite rencontre.

Cette petite rencontre justement l'avait empêché de voir qu'une des caméra pivoté, son plan réduit à néant avant qu'il ne le sache. Herman fit donc rouler son fauteuil jusqu'à la porte qui s'ouvrit, il était accompagné du receptionniste ainsi que du garde du corps une fois les procédures passé, il rentra avec son père dans la salle. Le plan, maintenant. Son père ouvrit son coffre absorbé dans un document long à l'aspect important déposé par son fils sans qu'il ne le sache et qui lui prendrait très exactement 2 minutes 43 à lire, un peu avant la venu de l'homme qui les avait accueilli. Herman, appuya sur un bouton, il se leva, un exo-squelette retenant ses jambes, un hologramme apparut à sa place sur le fauteuil. Herman grimpa sur les casiers, ses bras étaient devenu musclé avec le temps au détriment de ses jambes. Il regarda un peu partout, il s'aperçut trop tard de la caméra sur pivot, une goutte perla sur son front. L'alarme s'activa immédiatement, trop tard, à cause de cette gamine. Herman retourna à son fauteuil pas pour s'asseoir il appuya sur l'un de ses multiples bouton, une énième poche caché apparut laissant sortir un revolver et des munition, comment pouvait-t-il espérait s'en sortir? Heureusement qu'il prévoit toute les possibilités avant qu'elles n'arrivent. Il regarda vers le haut, il inséra une balle soporifique et visa son père.

Désolé.

Il tira, son père s'écroula presque instantanément, Herman le mit sur son fauteuil. Il le fit rouler dans un coin. Herman approcha de la rangé, oui ici, il sortit une clé magnétique qui fit fondre la serrure la clé contenant un acide spécial. Herman ouvrit à la volé devant lui le célèbre tableau, la Fée Voleuse, enfin. Il voulut la sortir, mais impossible une chose le retenait, Herman se retourna un colosse tout en muscle.

Je suppose que ce n'est pas pour faire la causette que vous venez me voir ici?

Herman esquissa un mouvement imperceptible, sa main s'enfonça soudainement dans le flan de l'homme, le jeune Allemand déglutit, il continua d'enfoncer, il jugea arrivé au niveau du foie, il tira, un trace rouge sang apparut sous la peau. L'homme s'effondra, Herman courut, du moins son exo-squelette. Il arriva au niveau de son père, la Fée Voleuse en main. Herman regarda le plafond.

Elle devait etre ici.

Il appuya sur un bouton de clé, la voiture, un son se fit entendre, la foreuse en diamant taillé perça l'épaisse coque, plusieurs million avaient étaient dépensé pour cette foreuse. Elle se rétracta, Herman lança un câble, il l'accrocha au fauteuil tenant son père et il se tenue dessus. La touche finale du plan un peu loupé, il sortit une petite tige, il l'activa, un ultrason passa à travers les murs et détruisit l'unité centrale de la banque, plus de trace. Herman se sentait désolé pour la petite fille, non pas de pitié, il ne devait pas mais il l'avait enfermé pour plusieurs heures. Maudite conscience, pourquoi maintenant? Herman assit son père dans la voiture, il regarda l'épaisse porte blindé de la banque, comment l'ouvrir? Comme ça, il appuya sur l'unique bouton de son exo-squelette, un petit tiroir apparut contenant, une bombe nucléaire de la taille d'un cheveu et de la même épaisseur, il la déposa délicatement sur la porte, Herman s'éloigna, il rappuya sur le bouton la bombe eut un effet dévastateur, Herman sentit les ondes à plusieurs centaines de mètres. Il ouvrit la porte. Herman passa l'ouverture, il accourt vers la fille et son frère abasourdit.

Sortez vite, la police va arriver.

M'ennuyant, je m'étais décidé à me promener dans le quartier des affaires... aux environs de la banque, plus précisément...
En effet, j'avais réussi à corrompre, puis à faire chanter, un des employés du cadastre de la mairie, en tout anonymat... grâce au secret d'Internet...
Il avait pour cela suffit de créer les e-mails et comptes Paypal depuis un cyber-café de la ville, d'où j'envoyais mes menaces, et recevait les réponses...
Avec pour résultat final l'obtention des plans du cadastre de l'International Bank... jusque là, rien de bien sorcier...

Le seul détail étant que ces plans n'indiquaient que la disposition des lieux... je ne connaissais donc rien du système de sécurité...
d'où la nécessité d'effectuer un repérage...

C'est à ce moment que la sirène d'une alarme se déclencha...provant de la banque... décidément, je n'étais pas le seul intéressé... même si dans mon cas, il ne s'agissait encore que d'un projet... certains en étaient venus à l'acte... et semblaient être en train d'échouer... dommage...

Mais une des voitures garées devant le bâtiment se comporta étrangement, me laissant voir une foreuse... en diamant... notre voleur avait donc une certaine somme d'argent à sa disposition... que pouvait-il donc être alors venu chercher ici ? Une oeuvre d'art, probablement... mais laquelle...
La Joconde se trouvait toujours au Louvre... de même que la Pierre de Rosette... il ne pouvait certainement pas s'agir d'une oeuvre connue du grand-publique... donc probablement une des soit-disant "légendes", comme la Fée-Voleuse...
Pas véritablement mon objectif actuel...

Un adolescent sortit de la banque, transportant derrière-lui un fauteuil roulant... avec un homme dessus, qu'il installa dans la voiture, avant de sortir une sorte de tige métallique...

Il n'y avait pas tant de personnes au monde suffisament fortunée et intelligentes pour tenter de cambrioler l'International Bank...
La plaque d'immatriculation était allemande... il n'avait pas pensé à tout, mon collègue... Herman MacFloid, selon toute vraisemblance... un cambrioleur amateur en fauteuil roulant... compensant son manque de professionalisme par une impressionante fortune, lui permettant de mettre en place les projets les plus audacieux...

Mais au lieu de s'enfuir, Herman sembla hésiter un court instant, avant de poser une bombe sur la porte...
L'onde de choc me projeta à terre... une charge nucléaire miniature... quel gâchis...
L'allemand semblait s'adresser à une fillette à l'intérieur, et les sirènes de la Police commençaient à se faire entendre... il allait se faire prendre...

Je traversais rapidement la rue, le rejoignant en quelques secondes, avant de lui adresser rapidement la parole, dans mon plus parfait accent oxfordien.

-Herman MacFloid ? Ravi de vous rencontrer... Bon... Partez, je m'occupe de tout. Ne vous inquiétez pas, je ne dirais rien à la Police... Au plaisir de travailler un jour avec vous...

N'attendant pas sa réponse, je m'intéressais à la situation... pour m'apercevoir que la fillette n'était autre que celle rencontrée auparavant au C.D.I...

Elynn fut légèrement surprise que le jeune homme lui réponde si gentiment, évidemment la fillette n’était pas habitué à ce que des adultes lui parlent poliment. Allez savoir pourquoi .. Elle savait qu’elle énervait la plupart des gens qu’elle abordait de manière un peu brutal dans la rue ou ailleurs mais elle ne pouvait s’en empêcher craignant la solitude comme les gaulois craignaient la chute du ciel.
Bref le faite que le rouquin de l’envoya pas voir ailleurs si il y était, le fit remonter d’un coup dans l’estime de la fillette.
Malheureusement leur conversation s’arrêta prématurément avec l’arrivé du père. Grand, classe, froid, légèrement sinistre; bref le stéréotype parfait de l’adulte ennuyeux qu’Elynn ferai tout pour ne jamais devenir !
Bref se trouvant abandonner de la seule personne avec qui elle aurait peut être put avoir une conversation digne d’un minimum d’intérêt, la fillette reprit sa très inintéressant exploration de la banque. L’endroit était luxueux, très smart mais l’atmosphère pesante et tous ces visages qui la dévisageait avec une curiosité a peine dissimulé lui donnait envie de partir ou du moins d’occuper ses sens pour ne plus y penser.
Après une courte bataille intérieur, son cerveau guida ses pas vers son frère toujours dans la file l’air de s’ennuyer a mourir.
Elle se planta à côté de lui et en réponse à sa réapparition il lui lança un regard noir pour lui faire comprendre qu’il n’était pas content qu’elle ne lui avait pas obéis.
Cela n’affecta guère la fillette qui engagea la conversation :

- Au faite, je t’ai raconter hier, quand tu m’as déposé devant l’école et que ensuite tu es repartie avec une blonde avec pleins de bouton sur le visage tu m’avais dit que ..

Elle continua ce très inintéressant monologue jusqu’à ce qu’une alarme se déclencha. A partir de ce moment là la fillette ne comprit pas vraiment très bien tout ce qu’il se passait autour, les gens couraient, criaient, se bousculaient en tout sens. Un gros monsieur poussa Elynn qui tomba sous la force du choc, en réponse elle lança un regard noir à l’horrible humain et se sentit vengé malgré que l’homme ne s’était pas retourné une seule fois.
Puis elle vit apparaître un main devant ses yeux qui s’avéra être celle de son frère. Elle accepta son aide et se remit sur pieds juste a temps pour voir arriver le rouquin de tout à l’heure, elle ne comprit pas bien ses paroles dans le brouhaha ambiant mais comprit qu’il lui ordonnait de sortir.
Elynn ne se fit pas prié et toujours agrippé à la main de son frangin elle l’entraîna au dehors. Une fois à l’air libre elle vit que le boxon était peu près le même dans la rue que sur le sol de marbre de la banque.
Elle soupira et chercha des yeux une sortie, mais trouva bien mieux.
D’un pas assuré elle se dirigea vers Henry et sans s’avoir pourquoi le serra dans ses bras :

- Bonjour Henri !!

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La camionette des forces d'assault s'arreta a 5 mètres de l'entrée e l'international banque .
Barg et son escouade en décendire prestement,équipés de leurs combinaisons noires et de leurs fusils d'assaults.
Si ils arrivérent aussi rapidement,c'était parce qu'ils avaient recu plus tot un coup de fil anonyme leur anoncant que l'international banque allait être braquée dans la journée.N'y croyant pas trops,barg avait tout de même décidé d'aller faire une patrouille au cas où....

en tant que chef d'escouade,il prit alors les mesures apropriées.
-Bouclez le périmètre ! Personne ne doit sortir d'ici. Escouade 1,vous surveillez toutes les sorties possibles. Escouade 2,vous venez avec moi.
celà n'était pas bon....et il fallait faire attention:si il y avait des otages,il faudrait éviter le bain de sang....

tous les 5 se positionèrent de chaque cotés de la porte,attendant l'ordre de barg.
-Souvenez vous,dit il,dès que vous serez a l'intérieur,metez vous immédiatement a couvert.Ils sont peut être armés....
Barg abaissa son bras,et l'escouade ouvrit la porte a la volée,pénétrant ainsi dans la banque....

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