[Apres un tsunami] Test d'Aulit Bermuda Terminé

Une fois de plus, Julius attendait sur le quai d'embarquement. Devant lui, les portes se refermaient toutes les cinq minutes, lorsqu'une nouvelle possée de magma arrivait propulsant des elfes et des touristes vers la surface. C'était la destination la plus demandée malgré les prix exorbitants demandés pour s'y rendre. Car les etres de boue étaient de plus en plus nombreux a la surface et il était de plus en plus difficile de s'y rendre sans se faire repérer. Le peuple avait eu bien du mal a trouver la paix sous terre et ils ne comptaient pas y renoncer.
Bref, comme toujours, Julius était un peu en avance et pour une fois, il s'autorisa a laisser ses pensées vagabonder.
Lorsqu'Aulit arriva, il la salua brievement avant de lui demander de le suivre dans la navette qu'il avait réquisitionner. Les FAr étaient toujours prioritaires ce qui évitait d'attendre indéfiniment une place pour tout ce qui n'était pas vraiment urgent, comme les tests.

Julius se cala sur la banquette et attendit qu'Aulit s'asseye en face et commenca sans plus tarder ses explications:

-Il peut arriver que vous soyez prisonniere a la surface sans magie et sans matériel, nous voulons donc vérifier que vous êtes capable de maîtriser cette situation. Si vous tentez d’utiliser quoi que ce soit que vous avez apporté, le test prendra aussitôt fin et vous ne pourrez plus jamais le repasser. Un agent vous suivra. Ne vous inquiétez pas, il ne vous trahira pas, il sera aussi silencieux qu’une ombre. Sa mission consiste a épier vos moindres faits et gestes pour déterminer si oui ou non vous méritez d’entrer chez les FAR. La première chose a faire c'est de garder son sang froid en toutes circonstances. Imaginez donc que je suis un criminel et que vous me poursuivez. Mais ce criminel -moi- est en train d'inverser les rôles et de vous chasser a son tour. Nous aurons chacun 1 pistolet de paint-ball. C'est très simple : je vous piste et vous me pistez. La plupart des officier son touchés une demi douzaine de fois c'est pourquoi, il est inutile de paniquer. Ce qui conte c'est de me rendre la tache difficile: cachez vous, surprenez moi, piégez moi, etc.... Si vous me touchez avant que je vous touche, vous êtes admise d'office, mais sans vouloir vous vexer, j'en doute. La seule personne a avoir jamais réussie cet exploit est l'agent Short. Et elle est maintenant devenue notre meilleur officier.

Vous ignorez peut etre notre destination ? Nous nous rendons dans la region de Phuket en Tailande. Il y a eu un tsunami et la région a été completement évacuée....Il y aura beaucoup de cachettes, mettez a profit tout votre environnement.

Si vous avez des questions, n'hésitez pas. Ho!, j'oubliai, vous aurez 20 minutes d'avances, profitez en pour vous cacher ou me tendre un piege...

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Aulit aquieça brievement. Elle était assez tendue. Elle se concentra pendant toute la durée du voyage pour réfléchir à toutes sorte de plans plosibles pieges possible et environements disponibles. Lorsqu'il furent arrivés elle laissa tout son équipement et fila dans le panorama dévasté, après avoir reçut ses dernieres instructions biensur. 2 minutes plus tard elle avait déja plongé dans une marre de boue pour mieu se confondre avec l'environement humide et plein de fange. Aulit pensa à plusieurs pieges possibles, plosibles et réalisables avec les objets présents dans l'environement, c'était toujours la même maxime qu'on répétait aux cadets de l'académie. Seul 3 des nombreux plans lui venaient à l'esprit semblaient réalisables, ce n'était pas gagné ! Le caporal Bermuda fit un tour dans la forêt à la recherche du matériel dont elle avait besoin. Dans la forêt était d'ailleur un euphémisme car les petits bosquets d'arbres exotiques ayant encore survécus à la vague mortelle étaient rares. Finalement Aulit trouva ce qu'elle cherchait pour le premier plan. Elle aurait le Comandant elle l'aurait...

Julius se retrouvait encore une fois a attendre dans la navette. Comme toujours, il fumait un cigare aux champignons. Il regarda plusieurs fois sa montre. lorsque les 20 minutes furent écoulées, il posa la navette, la camoufla, attrapa son pistolet de paint ball et sortit.
Ici, il y avait beaucoup de cachettes possibles, beaucoup d'éléments a exploités pour tendre des pieges et se cacher. Dans se genre d'environnement, il était plus difficile de repérer sa cible mais une fois repérée, on pouvait lui tendre bien des pieges.
Julius n'avait pas été déposé au meme endroit qu'Aulit, et ne connaissait pas les lieux mieux qu'elle. Ils étaient donc a égalité. Julius choisit une direction au hasard, il finit pas arriver jusqu'a ce qui pouvait etre les restes d'un village : des débris de platre, quelques murs, des restes de meubles et des arbres déracinés. Il décida de le fouiller intégralement. Ici, Il y avait beaucoup de cachettes.

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Aulit progressait dificilement dans les ruines dans les ruines de ce qu'était avant le village. Elle avait choisi la position que tout les cadets stupides auraient choisis pour une embuscade. En l'occurence le deuxième étage d'une maisonette d'où on pouvait voir tout le village. A ce moment elle vit le comandant avancer des le village surement à sa recherche. Elle confectiona un petit piege car elle était casiment sur qu'un pro comme le comandant viendrait visiter les lieux les plus sucéptibles en premiers. Ensuite elle reparti vers la forêt de l'autre côté du village. Elle avait encore un autre piege à tendre après les 5 qu'elle venait de placer.

Julius continuait ses recherches espérant qu'Aulit ne s'était pas cachée et attendait qu'il vienne la trouver. Ce genre de chose ne faisait que les retarder et ce n'était pas ca qui lui permetrait d'avoir son test. C'était beaucoup trop classique. Il se contenta donc de visiter les maisons en coup de vent. un coup d'oeil dans chaque piece et ne montait a létage que si les escaliers tenaient encore un peu. Meme dans ce cas, il embrasait la piece du regard et sortait et vérifiait toujours le plafond avant d'entrer pour etre sur qu'il ne s'écroulerait pas sur lui, c'aurait été trop bete. Il n'avait pas recommandé a Aulit d'etre prudente, mais cela lui paraissait évident. les villages n'étaient pas tres surs mais idéals pour tendre des pieges. Avec tout ce qui était cassé, on ne regardait pas fraiment ou on metait les pieds et il était facile de tirer d'en haut par un trou dans le plafond ou une fissure dans un mur....

hj: comme je ne sait pas ce que tu vas faire, je ne sais pas quand arreter mon message, donc j'espere que ca va ...

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Aulit avait troivé ce qu'elle voulait dans la forêt et s'en retourna vers le village avec une liane fraichement coupé à un des derniers arbres. Elle eurta alors un cailloux qu'elle avait remarqué la première foi qu'elle était passé par là. Elle s'écroula dans un thêatrale hurlement de douleur

"Tu en fait trop Aulit" se dit-elle.

Mais elle était sur que le comandant l'avait entendu et viendrait la marquer avec son peint-ball avant de lui annoncer que son test été échoué. D'ailleur peut-être la tenait-il déja en joue avant de lui dire quelque mots et de tirer.

Apres son passage éclairau village, Julius retourna dans la foret. C'est alors qu'il entendit des cris. Il savait que c'était Aulit, qui d'autre sinon ? Mais il lui était impossible de dire si elle s'était vraiment fait mal ou si elle cherchait a l'atirer dans un piege. Il penchait plutot pour la deuxieme solution. Les cris lui paraissaient un peu exagérés. Il partit donc dans la direction des bruits. Prudement, sans se faire entendre, il s'approcha et regarda, caché derriere un arbre déraciné. aulit était bel et bien tombée. puisqu'on l'avait vidée de sa magie avant le test, elle n'avait aucun moyen de se soigner et Julius n'allait pas l'aider. Les tests servaient a vérifier si, sans aide, sans materiel et sans magie, les egents étaient capables de pister un criminel. Hors ce criminel profiterait de nimporte qu'elle faiblesse. Elle devrait etre plus concentrée. C'était bete de tomber comme ca, surtout lorsque cela aurait pu se réveler crucial s'il était vraiment une criminel. Julius avait des principes, comme par exemple ne jamais attaquer un adversaire au sol. Mais il était sencé incarner un ennemi sans pitier c'est pourquoi il tira. Une seule fois puisqu'elle était au sol. En principe, les agents se faisaient toucher une demi douzaine de fois avant la fin du test, elle ne serait donc pas éliminée pour ca. C'était juste dommage que ce soit arrivé aussi vite.

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Aulit senti tout de suite la balle de peinture exploser sur sa conbinaison. Le liquide secha très vite formant une marque rouge bien nette sur son épaule gauche car elle était face contre terre. C'était là que le comandant avait fait une erreur, elle avait prévu qu'il se cacherait au deuxième endroit le plus propice, le premier étant trop soupsonable. Elle avait donc instalé son piege juste à cet endroit, derière la souche. Elle tira sur la liane qu'elle avait coupé dans la forêt et qui courait maintenant le long de son bras. Lorsqu'elle tira sur le végétal, une réaction en chaine bien claculé s'oppéra. Un esuite de plusieures lianes dissimulées sous la boue se tendirent puis la dernière déclancha la gachette de son peint-ball qui se trouvait dans le dos du comandant caché dans les arbres. Lache sans doute mais le comandant avait averti qu'il se comporterait comme un malfaiteur et tirerais dans le dos si néscéssaire alors pourquoi s'en priverait-elle? Après avoir pressé la détente grace aux liens elle resta immoble, voyant du coin des yeux une bille verte s'échapper de l'arme d'entrainement"On va voir si vous l'éviterez comandant, mais la vitesse est telle qu'il serait extraordinaire que cela se produise. Auquel cas je vous résérve encore des surprises.".

Tout ça aurait pu marcher, mais il y avait un petit quelque chose qui sonnait faux... Tout était... un peu trop exagéré... Et puis, il n'y avait pas que ça... Il manquait quelque chose à la scene... Julius était en train de s'interroger, quand un éclair de génie s'imposa à son esprit, comme une évidence. C'était le pistolet d'Aulit ! Elle n'avait pas son pistolet !
saisit d'un doute, il se retourna d'un bond . Toujours accroupi, ce brusque mouvement lui valut de se retrouver par terre. A ce moment la, la balle siffla, passant au dessus de lui.
Aulit était tres habile, bricoler un tel piege était tres difficile, les lianes avaient du etre tres difficiles a trouver et la fabrication du piege encore plus ardue. Comment avait elle prévu sa cachette et pointé le pistolet pile dans la bonne direction ? Elle faisait preuve d'un étonnant bon sens.
Julius se releva, et attrapa le pistolet caché dans les feuilles par le canon.
C'était un bon plan qui jouerait en sa faveur et conterait pour son admission aux FARs. Cependant, elle avait comis une arreure majeure: se séparer de la seule arme dont elle disposait.
Julius lui lanca son pistolet:
-faites plus attention la prochaine fois, ceci est le seul materiel qui vous est autorisé.
Puis tira vers ses pieds pour lui signigier que le test avait repris et qu'il était temps de partir.

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Aulit fut surprise de voir le comandant éviter sa balle mais elle s'était juré de ne pas paraitre surprise car tout pouvait arriver. Lorsqu'il lui parla elle se rendit compte qu'il était si visible ou plutôt justement que son arme n'était pas visible alors qu'elle aurait du l'être. Mais elle ne se démonta pas, écouta le sermon du comandant puis lorsqu'il reparti elle esquisa un sourire : la chasse avait reprit. Aulit tendi ses muscle puis après ce petit étirement, piqua un sprint vers la fôrêt pour s'y cacher le temps d'instaler un autre piege. C'est alors que lui vaint l'idée du siècle !!! elle se mit alors en quête de se qu'elle cherchait, se glissant dans chaque mare de boue qu'elle voyait. Pas très classe mais obligatoire pour son piege !

Julius regarda Aulit s'enfuir en courant. Il lui donna dix secondes avant de partir a sa recherche mais il ne la voyait deja plus. Le sol n'était pas assez humide pour conserver des traces de pas aussi n'avait était il obligé de recourir au bonnes vieilles métodes. Il choisit un direction -celle qui lui semblait receler le plus de cachettes et partit a la recherche d'Aulit.

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Aulit trouva une branche assès ressemblante par rapport à son bra. Ensuite elle l'attacha avec une de ses lianes à une pierre puis la jetta dans une mare de boue très profonde. La pierre coula immédiatement. C'est alors qu'elle cria, la tete penché dans la boue pour plus dse réalisme:

- AU SERCOUR JE ME NOIE !!!

Julius était toujours a la recherche d'Aulit quand un cri retentit : au secours, je me noie ! La encore, il ne faisait aucun doute que c'était Aulit. Et comment pourait elle se noyer ? A moins qu'un second raz de marée arrive mais c'était bien peu probable. Et si ca avait été le cas, il l'aurait remarqué. Aulit lui avait deja fait une fois le coup de l'appel au secours et ca n'avait pas completement marché , alors pourquoi le refaisait elle. Pour réussir le test, il fallait le surprendre, lui tendre des pieges en utilisant l'environnement et lui tirer dessus. mais ce n'était pas toujours a lui de venir la chercher. Depuis le début de sa carriere, des dizaines d'éleves lui avaient fait le coup. ce n'était plus un bleu.
enfin, au moins, il avait repéré Aulit. Il se dirigea donc en direcion de l'appel, prudent. Il vit d'abbord une grande flaque de boue de laquelle dépassait ce qui semblait vaguement etre un bras. Et c'était de la que provenait le cri. Julius était absolument certain que la vrai Aulit n'était pas dans cette flaque. Premierement, le "bras" ne bougeait pas. Deuxiemement, il n'avait jamais vu une flaque mesurant pus d'un mettre de profondeur. Habituellement, elles ne dépassaient pas trente centimetres.Troisiemement, qu'est ce que de la boue ? S'il en croyait son experience: de l'eau et de la terre. Pas des sables mouvents en tout cas! et une flaque ne mesurait pas la longueur d'un lac, il n'y avait en principe, qu'a "nager" pour en sortir. Meme si personne ne s'était jamais enfoncé plus loin que le genou dans une flaque. Bref, Julius n'y croyait pas le moins du monde. Il resta tapis derriere les arbres, invisible le temps de repérer Aulit....

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Aulit n'était pas une lumière mais elle n'était pas idiote elle savait que ce coup si le comandant se douterais de la ruse qui par ailleur était vraiment éxagéré. Elle n'avait pas eut le temps de se glisser dans le dos du commandant en se faufilant à ravers les arbres car il était encore rapide pour son âge ! Elle avait donc plongé sous un buisson délabré, se préparant à sortir en douce. Elle reparti de l'autre côté du buisson hors de vue du comandant et lorsqu'elle fut à découvert elle se dit que la moindre brindille pouvais faire retourner le comandant et faire échouer son plan par la même ocasion. La discrétion à toute épreuve de Aulit lui permi de se glisser deriere le comandant et de le tenir en joue. Au moment où elle allait tirer elle marcha sur une brindille mais le coup était en train de partir. Pas le temps de se cacher mieu valait attendre que la balle de peinture atteigne le comandant puis s'enfuir au plus vite...

Trop concentré, julius n'entendit ni la balle siffler, ni le déclic de la gachette. Ce fut le craquement de brindille qui lui fit prendre conscience de la situation. a tous hasard il bondit sur le coté. Le projectile de peinture alla se perdre dans le feuillage. Il se retourna et tira avant de se mettre a courir. Il courut longtemps. Lorsqu'il fut bien sur de l'avoir semé il se cacha et chercha un plan. Il espérait bien que cette fois ci, Aulit trouverait quelque chose de plus original qu'un cri pour l'attirer.
Il reprit la direction du village. Il attendrait qu'elle vienne l'y chercher. ET il était patient. Il entra dans une maison et attendit...

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Aulit en avait assé de se cacher puis de crier au secour ! Ce n'était pas sa nature. Elle choisit donc une manière qu'elle préférait, la discrétion. Elle couru ses pas étoufé pas la mousse qui recouvrait le sol. Lorsqu'elle fut arrivé dans le village elle progressa plus lentement mais plus surement et surtout plus silencieusement. Le Comandant, elle en était à peu près sur se trouvait ici. Relevant le cran de sécurité du pistoler à peinture elle se tenait prête à tout. Aller au devant de l'énemi était sa spécialité, elle l'avait réséervé au cas ou. Elle vit alors un mouvement dans un bâtiment et se mit encore plus à couvert qu'elle ne l'était déja. La traque commençait vraiment. Il était temps de devenir le chasseur ! Pistolet à peinture brandit elle s'élança silencieusemant vers l'endroit du mouvement l'oreil au aguets...

Par la fenetre, Julius vit Aulit penetrer dans le village . Il ne fit que l'entrapercevoir. Il n'avait pas vraiment vu son visage. Il avait percut un mouvement du coin de l'oeil. Elle restait a couvert. Ce ne pouvait etre qu'elle puisque tous les etres de boue avaient été évacués pour un temps et que les animaux avaient presque tous désertés les lieux. Il n'avait pas eu a attendre longtemps. Comment avait elle pu savoir qu'il était la ? Peut etre avait il laissé une trace ? Il avait portant fait tres attention et il était sur de n'avoir laissé aucun indice le trahir... Ou peut etre ne savait elle pas qu'il était la...elle aurait pu décider de venir vérifier ici en premier, guidée par son instinc... Bref, le fait était qu'elle la. Or, elle ne semblait pas voulour se diriger vers lui et par consquent, elle n'était pas prete de tomber dans son piege. Peut etre attendait-elle, bien cachée de le repérer avant de se risquer a découvert. C'était l'hypothese la plus probable.

Julius regarda autour de lui évaluant les différentes possibilités. Il voulait l'attirer par la tout en gardant un miyen de s'éclipser quand le moment viendrait. Il ne voulait pas etre pris a son propres jeu, prisonnier de son propre piege.

Il se trouvait a l'étage d'une maisonnette, sur une mezzanine. la maison n'avait plus de toit. Sans doute avait il été emporté par le raz-de-marée a moins que la vague ne l'ait endomagé a tel point qu'il avait finit par tomber. Un pan du mur était écroulé mais, on ne sait par quel miracle, la mezzanine tenait toujours. Bien sur, les lattes grincaient, les plaques étaient disjointes et le mur comportait plusieurs trous. L'escalier menant a l'étage était toujours praticable meme si quelques marche manquaient ou menacaient de ceder sous le poids de celui qui prendrait le risque de monter. Les elfes étant de petite taille, et rarement obese, l'escalier suportait assez bien son poids tout en l'obligeant a enjamber certaines marches. Mais ce n'était pas le plus important. Ce qui l'interessait c'était le trou béant au milieu du parquet il pourait mettre a profit cet élément si la situation l'imposait.
Il se trouvait juste a coté d'une fenetre mais adossé au mur, invisible depuis l'exterieur. Il s'était posté juste au dessus de la porte d'entrée. La il y avait un tout petit espace entre deux plaches qui lui permettait de voir ce qui se passait a l'étage au dessous. la mezzanine donnait sur une autre piece , bien entendu, il n'y avait plus de porte. A l'interieur, il ne restait plus que quelques débris, des morceaux de platre et ce qui avait du etre une armoire. Sa tete dépassait un peu du cadre de la fenetre mais seul un observateur tres attentif aurait pu le remarquer.

Tout était parfait, il ne manquait plus qu'Aulit....Si elle venait, le combat deviendrait bien plus interessant....

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Aulit avait prit la moitié de son chargeur de bille de peinture les avait envelopé defeuille qu'elle avait ensuite noué avec des lianes.

* Tu viens d'inventer la grenade à peinture ma vieille * s'était-elle dit.

Elle avait visité tout les endroits du moins propice au cachette, qui devenait donc le plus suspect, au plus prévisible. Il ne lui restait plus qu'une maizonette de deux étages dont elle voyait la vitre du deuxième. Les décombres bloquaient le passage par le bas du côté où elle arrivait. Peut-être un piege l'attendrait-il si elle fesait le tour. Elle décida donc de sortire sa dernière liane en stock de faire une deuxième grenade, et enfin de changer de chargeur. Lorsqu'elle eût fait tout ceci elle aracha un bout de ses semelles de bottes qui gonflé lorsqu'il était imbibé d'eau puis durcissait. Elle avait rempli une gourde dans une rivière dans la forêt, elle s'emplit donc la bouche d'eau. Elle attacha le bout de semelle a la liane puis la lança vers une tige de métal qui sortait dur mur faisait un arc et se replantait dans le bâtiment. Le bout de semelle passa au centre de ce cercle et c'est alors qu'elle cracha toute l'eau de sa bouche. La réaction fut instantané : la bout de matière gonfla puis se rigidifia. Maintenant trop gros pour repasser dans l'interstice il assurait à Aulit le moyen de grimper le long de la liane, ce qu'elle fit. Arrivé au rebord de la fenêtre il n'y avait rien dans la piece. Elle sortit sa première grenade et l'envoya contre un mur ou elle rebondit pour aller se nicher pile dans la seule cachette possible : sur les côtés de la fenêtre, inaxecible avec un pistolet. La grenade explosa sur le sol dans l'angle et Aulit le vit lorsqu'une eclaboussure de peinture gicla de derrière le mur. Elle plongea sous le rebord de la fenêtre pour éviter la peinture qui arrivait et se cacha bien car elle s'attendait à voir arriver le comandant plein de peinture. Si ce n'était pas le cas elle descendrait et on verrait bien.

Apres avoir visiter l'autre piece donnait sur la mezzanine, Julius revint a son poste. IL jetait régulierement des coups d'oeil a la fenetre pour vérifier si Aulit était la. Il l'apercut plusieurs fois, visitant des maisons. Vu sa maniere de procéder, elle finirait forcement par arriver a la sienne. Julius, tres concentré, se tenait pret a agir des que Aulit s'approcherait. Mais pour le moment, il était plaqué contre le mur. Invisible depuis la fenetre sauf qu'en il coulait un regard dehors.
Il finit par entendre un "poc" comme un petit objet qui se cogne contee un mur, pres de la fenetre. Il pensa aussitot qu'Aulit l'avait repéré et arrivait par la fenetre pour le prendre par surprise. D'ailleurs, il n'avait pas tort.
Il alla se cacher dans cette fameuse piece qu'il avait inspecté quelques minutes plus tot. Bien entendu, elle n'avait pas de porte et ne possédait aucun meuble. Il n'y avait donc pas beaucoup d'abris mais au moijs, il était invisible depuis la fenetre, et surtour, hors de portée de tir.
Dans le coin de la piece ou il se trouvait, il voyait pesque toute la mezzanine a l'exception du mur ou était la fenetre...
Il vit une boule de feuilles arriver a toute vitesse, s'écraser contre un mur et éclabousser toute la piece. Heureusement, la "chambre" ou il se trouvait ne fut pas atteinte par la peinture. Le plan étaitingénieu. Il était meme étrange qu'elle ait réussi a fabriquer ça sans qu'il s'en appercoive et surtout, avec le peu de moyens dont il disposait. Peu etre avait elle utilisé un materiau interdit. Il faudrait qu'il vérifie.
Il ne prit pas le temps d'y réfléchir. s'il avait obéit a son instinc il aurait foncé hors de sa chette pour riposter. Seulement, Aulit l'attendiat peut etre, ou bien elle aurait une autre grenade. mais cela utiliserait surement ses dernieres réserves de peinture. Il courut vers l'escalier qu'il dévala a toute vitesse, s'engoufra dans la rue, crut apercevoir Aulit et tira.

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Aulit jeta un regard dans la pièce, incroyable elle avait pourtant juré entendre des bruits de pas dans la mezzanine ! Au moment où elle enjambait le rebord de la fenêtre une balle de peinture sifflet à son oreille et vint s'éclater juste sur le mur à une dizaines de centimètre de son buste. Aussitôt elle plongea par la fenêtre, dans la maison. D'ici elle pouvait tirer à couvert ce qu'elle fit sans attendre. Elle prit tout de même le temps de viser car avec ses 2 grenades elle n'avait plus beaucoup de billes de peintures. Alors l'idée lui vint de jeter la deuxième grenade essentiellement faite de feuillage et de lianes dans lesquelles on avait enfermé des billes de peintures. La grenade tomba par la fenêtre mais elle n'eût pas le temps de regarder si elle avait atteint sa cible car une autres balle de peinture arrivait déjà et son instinct lui commanda de se coucher sous le rebord que formait le mur.

Apres avoir dévalé l'escalier, quand Julius se retrouva dans la rue, il leva la tete vers la fenetre ou se tenait encore Aulit. Il tira et vit au meme moment une main se tendre et une boule de feuilles descendre pour s'écraser au sol. Bien sur, il comprit imédiatement que c'était une deuxieme grenade, Mais il ne prit pas le temps de la regarder s'écraser. La rue était étroite et il y avait a peinedeux metres entre la maison a deux étages d'ou il sortait, il un mur isolé qui avait du appartenir a une autre maison. Il se précipita dedans pour préserver son uniforme. Il entendit un « splatch » la granade-et le chargeur du pistolet avec- éclaterent. Il ressortit ensuite et tira une derniere fois avent qu'Aulit ne soit plus a porté de tir.

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Aulit s'était redressé pour tirer une nouvelle salve de balles au moment même où le commandant tirait une dernière fois. Elle se baissa mais en explosant un miligoute de peinture d'une quantité microscopique s'écrasa sur sa manche gauche.

* Oh la la ! Maince ! *

La mine renfrogné elle vit le commandant reculer derrière le bâtiment d'en face. De rage elle préféra la voie des airs plutôt que de redécendre les étages. Biensûr les elfes n'ont pas d'ailes alors comment utiliser la voie des airs ? Très simple, Aulit prit son élan dans toute la pièce puis après un démarage en trombe couru toute la longueur de la mezzanine à une vitesse qui aurait fait rougir un nain de compétition olympique. Après cette prouesse de vitesse elle sauta par la fenêtre et voyait le nez du commandant dépasser elle tira un coup un seul dans sa direction. Après un vol plané extraordinaire elle passa au travers de bée-vitré d'en face en roulant sur elle-même. Enfin elle se cachat dans l'ombre de la rampe d'escalier attandant un bruit ou un mouvement.

Julius, le dos plaqué contre le mur, ne laissait dépasser que sa tete pour observer Aulit. Elle regardait toujours par la fenetre, elle disparut un moment puis il la fit courir, passer dans le cadre de la fenetre. Il fronça les sourcils, elle n'avait pas de magie et elle allait tomber de haut, elle n'avait presque aucune chance d'en sortir indemne. Une chute du haut d'une maison de deux étages, avec de la vitesse... Avait elle perdu la tete ?
Grace a son élan, Aulit resta quelques secondes suspendue dans les airs. Dea, elle avait une vue d'ensemble, et visiblement, elle aussi l'avait repéré, car tres vite une nouvelle balle de peinture fonça sur lui. Bien sur, comme elle avait tiré en plein saut, le tir n'était pas précis. Il s'accroupit quand meme derriere le mur. La balle passa pres de lui sans le toucher.
Mais quand il se releva pour regarder ou était Aulit, elle n'était plus la.
Il revisita donc rapidement toutes les maisons, histoire de vérifier qu'Aulit était toujours dans le village. Il ne prit pas la peine de vérifier les vérifier toutes, il laissa de coté celles qui n'étaient plus que des tats de gravats. Il repassa dans celle ou il avait voulu tendre un piege a Aulit puis quelques autres. Il surveillait ses arrieres. A un moment, il crut l'apercevoir pres de la rampe d'un escalier et tira.

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Aulit se baissa pour observer une trace de pas, c'est alors qu'elle vit bien toute sa chance : une balle de peinture fila juste la où sa tête s'était trouvé une milli-seconde avant. Elle fit une roulade de côté puis, un genou à terre visa le commandant, qui était à couvert, tout en prenant compte cette fois-ci de la force du vent. Son tire fut précis mais pas le temps de savoir s'il avait atteint sa cible il fallait changer d'immeuble.

...Aulit évita sa balle, Julius s'appretait a tirer une nouvelle fois quand un prijectile de peinture fila vers lui. Il s'écarta juste a temps, le tir était précis, la balle s'écrasa juste a coté de lui. Il appuya de nouveau sur la gachette mais deja, Aulit s'enfuyait. Il la poursuivit hors de la maison tout en tirant. Mais il avait peu de chances de la toucher, il ne pouvait pas viser tout en courant. Il devrait attendre qu'elle s'arrete.

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